Courcheval

Courcheval

Trois ans après un premier opus éponyme, Guillaume Cantillon (ex Kaolin), sous le nom de COURCHEVAL, signe LA BAGARRE, un titre volontairement provocateur qui ouvre sur douze chansons ciselées.

L’album déroule le portrait d’un homme amoureux confronté aux années qui filent : l’usure du couple, les échecs assumés, les pièges déjoués. La narration est intime sans être mièvre, la sensualité et le romantisme y trouvent toute leur place.

La production, à la fois moderne et intemporelle, est le fruit d’un véritable patchwork territorial entre l’Auvergne et les Landes.
À Montluçon, dans son home studio, Guillaume s’enregistre à la plupart des instruments, comme autant de selfies sonores ; au Manoir de Léon, il immortalise les interventions de ses compagnons de route, les batteries de Loïc Maurin et la basse de Marceau Rannoux. Les mixes, confiés à Osha, qui vient de l’univers urbain, créent une rencontre inédite : une pop française aux nuances sophistiquées et à la profondeur de production rare.

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